Voilà un mot qui fleure bon la lavande, l’aïoli et l’accent du midi. Un mot issu d’un personnage de la commedia dell’arte qui excellait dans l’art de cancaner. La pasquinade est une raillerie plutôt bienveillante, une bouffonnerie où l’on emporte tout avec l’aisance des mots. La faconde méridionale de « Mado la Niçoise » est le terreau fertile où s’épanouissent les Pasquinades. Joli mot à préserver, et ce d’autant plus qu’il n’est pas reconnu par le dictionnaire automatique de mon écran. Cela suffit à me le faire aimer…