L’amoureux des belles lettres que je suis, aime défendre des mots oubliés. Mais parfois, c’est un combat perdu d’avance…. Apophtegme, pour désigner une maxime de vie qu’on peut tirer d’un bon mot ou d’une expérience réussie, est un mot difficile. Presque prétentieux. Et sa prononciation « à coucher dehors » n’aide pas. J’ai bien peur que ce mot tiré des oubliettes de nos usages n’y retourne illico presto pour manque de pragmatisme avec le souci de simplification de notre époque. Aphorisme se substituera à lui, sans prétendre à une meilleure popularité.